Hello world!

Dominique Martel

Président Directeur Général

Ferme des Voltigeurs

Pilier de la Ferme des Voltigeurs depuis de nombreuses années, Dominique Martel a toujours su mettre de l’avant des idées et des projets qui allaient faire boule de neige et qui allaient assurer une croissance continue de l’entreprise familiale. Au fil des ans et des décisions stratégiques, ce fleuron drummondvillois est devenu l’un des plus importants fournisseurs québécois de volaille nourrie exclusivement de grains.

Dès l’âge de cinq ans, le petit Dominique donnait un coup de main dans l’entreprise familiale, alors très modeste. «Quand on était jeune, la fin de semaine, on allait dans les poulaillers pour faire les tournées et nourrir les animaux. J’aimais suivre mon père partout.» Fondée par ses parents en 1958, le tout avait débuté avec sa mère, Denise Turcotte, qui proposait ses produits au Marché public de Drummondville. Fruits, légumes, sirop d’érable et une dizaine de poulets par semaine étaient vendus chaque semaine à l’époque.

Jamais il n’a quitté la Ferme. Il l’a vue grandir avec lui, jusqu’à en devenir actionnaire, en 1986, aux côtés de ses parents, puis de sa fratrie, et enfin président-directeur général. En feuilletant les articles de journaux des archives, force est de constater que le travail d’équipe a toujours été très important pour l’homme d’affaires, et ce, peu importe son rôle. C’est d’ailleurs ce qui l’anime au quotidien.

Impliqué dans la communauté

La générosité de Dominique Martel et de la Ferme des Voltigeurs a un impact considérable au sein de la communauté. Le chef d’entreprise est le co-président de la campagne de financement du Comptoir alimentaire Drummond. En plus de donner de son temps et d’aider financièrement cet organisme, il contribue à la Tablée populaire, à la Fondation René-Verrier et à la Fondation de l’Hôpital Sainte-Croix. À travers les années, il a participé à une levée de fonds pour l’agrandissement et la rénovation du Centre communautaire Sintra Saint-Charles – d’où le nom «pavillon Ferme des Voltigeurs» – et à la venue du campus de l’UQTR à Drummondville, en plus d’avoir donné pour la finale des Jeux du Québec, pour le Fonds Mentorat Desjardins de la SDED et pour le volet recherche agroalimentaire de l’Université Laval.

«Bénéficiant du support de la Ferme des Voltigeurs depuis déjà trois décennies, j’ai eu l’opportunité de faire la connaissance de Dominique et de découvrir la gentillesse, l’humanité et la générosité de cet homme. Ses qualités de cœur et ses compétences reconnues en affaires m’ont incitée en 2018, à lui faire la grande demande. À ma grande surprise, après quelques informations sur nos attentes et les responsabilités de ce titre, c’est sans hésitation qu’il accepta la coprésidence d’honneur de notre campagne annuelle!» a témoigné la directrice générale du Comptoir alimentaire Nathalie Belletête.

Membre d’Entrechefs PME (anciennement le Groupement des chefs d’entreprise) depuis une quinzaine d’années, l’entrepreneur ne se lasse pas d’apprendre. Il continue de parfaire ses connaissances notamment en marketing et en marchandisage, et ce, dans le but de continuer de s’améliorer personnellement et professionnellement.

Les idées et décisions de Dominique Martel ont bien servi l’entreprise bon an mal an. La Ferme des Voltigeurs compte aujourd’hui 250 employés répartis dans trois fermes d’élevage, quatre points de vente, une usine de transformation et une usine de surtransformation pour les produits prêts à manger.

À l’aube de 2022, la croissance continue de se faire sentir au sein de l’entreprise. Un projet de modernisation pour automatiser une partie de la chaine et augmenter la capacité de production est en cours. Celui-ci permettra d’abattre 40 000 poulets de plus par semaine.

Ayant su mettre une bonne structure de gestion en place, Dominique Martel se concentre maintenant uniquement à la direction de l’entreprise. Les défis sont nombreux, mais le gestionnaire est confiant pour l’avenir.

Son plus grand accomplissement professionnel demeure celui d’avoir contribué à amener l’entreprise là où elle rendue aujourd’hui et d’avoir mené à bon port les projets qui se sont enchainés. «Ma plus grande fierté est d’avoir adopté le rêve de mes parents et de l’avoir continué», laisse-t-il tomber.